Julie Watson explique qu’Ultimate a investi massivement en R&D ces dernières années, étendant ses solutions au-delà de l’impression commerciale à de nouveaux segments tels que les étiquettes, l’emballage numérique et le grand format. L’objectif de l’entreprise est de supprimer le travail manuel de prépresse grâce à une automatisation complète, sans intervention manuelle, des boutiques en ligne ou des systèmes d’information de gestion (MIS), jusqu’à l’impression et la finition. Sur le stand, Ultimate présente la production automatisée d’étiquettes imprimées sur une presse HP Indigo et finies sur une découpeuse laser GM LC350, et montre comment son logiciel gère dynamiquement des travaux mixtes, des formes, des tailles, des codes-barres et des changements de format, le tout sur une seule bobine.
Julie souligne que l’impression numérique révolutionne le marché en permettant des tirages plus courts, la personnalisation et la personnalisation de masse, tout en complexifiant la gestion de nombreux SKU et lots – une tâche que les solutions Ultimate peuvent entièrement automatiser. Le système peut même gérer des étiquettes à contenu étendu, comme les brochures pharmaceutiques, et gérer le traitement par lots et la séparation des rouleaux multi-clients directement à partir de données CSV ou MIS, sans intervention manuelle.
Elle souligne la force unique d’Ultimate en matière de centralisation des flux de travail : au lieu d’un logiciel d’imposition distinct lié à chaque appareil, Ultimate offre une plateforme unifiée capable de gérer diverses applications (commerciales, publipostage, livres, étiquettes et grand format) via un seul pipeline. Cela réduit la complexité de la formation et de la maintenance tout en améliorant l’évolutivité.
Julie ajoute que si de nombreux clients utilisent encore Ultimate sur site, le logiciel peut également fonctionner dans le cloud, sur des serveurs Windows, Mac ou Linux, et s’adapter dynamiquement aux périodes de pointe. Cette flexibilité permet aux clients de démarrer petit, d’augmenter leur capacité en fonction des besoins et de traiter des volumes maximaux pendant les périodes de forte demande. Elle conclut que cette approche permet aux transformateurs d’accepter davantage de commandes, de réduire les délais d’exécution et d’augmenter leurs revenus pendant les périodes de pointe.