Ray explique que la croissance du portefeuille d’Ultimate n’est pas un fardeau, mais un atout, car tout repose sur le même principe : le placement automatique de pages, d’objets, d’étiquettes et d’autocollants sur des supports, qu’ils soient papier, plastique ou vinyle. Si leurs fonctionnalités se sont étendues aux étiquettes, aux étiquettes à contenu étendu, à l’emballage et au prototypage, leur priorité reste l’automatisation et la centralisation, aidant ainsi les clients à unifier leur production sur plusieurs segments d’impression.
Il constate que de nombreux transformateurs entrant sur le marché sont confrontés aux mêmes défis que ceux rencontrés il y a des années dans l’impression commerciale : tirages courts, nombre croissant de travaux, métadonnées complexes en amont et trop d’étapes manuelles. Une fois qu’ils ont constaté l’automatisation d’Ultimate en action, ils réalisent qu’ils peuvent produire des étiquettes personnalisées et variables à grande échelle sans ajouter de personnel, libérant ainsi l’équipement existant pour traiter davantage de travaux.
Ray ajoute que les acheteurs de nouvelles presses numériques héritent souvent de plusieurs systèmes DFE/d’imposition différents, ce qui complique la formation et la maintenance. Ultimate résout ce problème en centralisant toute la préparation des travaux, y compris l’embellissement et la finition (comme la découpe laser), dans un seul flux de travail automatisé, évitant ainsi aux clients d’avoir recours à des outils distincts par appareil.
Il conclut que cette centralisation permet aux convertisseurs de diversifier leurs applications et de développer leur activité en utilisant les mêmes ressources, et que le message clé de LabelExpo est simple : automatisation, automatisation, automatisation.