Voici Morten de Inkish TV le 5ème jour ici à la Drupa à Düsseldorf et nous sommes avec nos amis sur Ultimate Tech et je suis ici avec Chris de Fotofabriek.
Chris : Oui, bonjour, ça fait plaisir de te revoir.
Morten : Je dois totalement admettre que j’ai été totalement époustouflé lorsque nous avons visité Fotofabriek, c’était il y a six mois, peut-être un peu plus.
Chris : Peut-être un peu plus, mais beaucoup de choses ont changé depuis et nous sommes fiers d’être ici avec Ultimate et de présenter également leur nouveau logiciel dans notre entreprise.
Morten : Nous allons en parler dans un instant. Une des choses que si les gens n’ont pas vu le premier film que nous avons fait avec vous, c’est que c’est un voyage plutôt intéressant parce qu’au début, ce n’était qu’un logiciel qui se trouvait quelque part dans un tiroir. Ce n’était pas vraiment ce à quoi vous vous attendiez. Et maintenant, vous avez en quelque sorte pris la décision de placer les solutions de produits Ultimate au centre de la façon dont vous gérez les données, dont vous faites évoluer votre entreprise et dont vous utilisez également la technologie pour vous adapter essentiellement à un flux de travail totalement automatisé.
Chris : C’est exact.
Morten : Quelles sont les choses majeures depuis notre dernière rencontre ? Et puis on creuse un peu plus.
Chris : Nous avons introduit beaucoup de nouvelles machines, de nouveaux flux de production. Nous avons introduit, avec ces nouvelles imprimantes et appareils de finition, de nombreux nouveaux processus dans notre entreprise et nous devions encore évoluer. La dernière fois que nous avons parlé, nous avions environ 10 000 commandes par jour, maintenant nous en avons environ 15 000 à 20 000 par jour, et tout cela est un travail variable. Il s’agit donc d’un produit unique et il doit être d’une qualité parfaite, parfaitement fini, en général un produit parfait pour nos clients et consommateurs.
Morten : Je me souviens que lorsque nous vous avons rendu visite sur le site de matériel informatique, j’ai été un peu surpris parce que vous êtes l’une des rares entreprises que nous avons visitées à proposer des appareils à feuilles simples et Kodak et vous en aviez quelques, trois. ou quatre, machines Xerox. Alors, dans quelle technologie avez-vous investi, juste pour que les gens comprennent cela.
Chris : Nous nous tournons désormais beaucoup vers l’impression jet d’encre. Cela prend donc une direction complètement différente. Nous étions basés à Tonor et nous essayons également de nous tourner vers l’aspect écologique.
Ainsi, le jet d’encre, une consommation d’encre réduite et beaucoup moins de gaspillage de papier avec les imprimantes B2, les imprimantes rouleau à rouleau et les appareils de finition rouleau à rouleau.
Nous sommes actuellement ici à la Drupa, examinant de nombreuses machines, recherchant des partenaires, discutant avec de nombreux partenaires, comme Ultimate, pour nous fournir les solutions nécessaires pour gérer le grand nombre de tâches que nous effectuons actuellement.
Morten : Cela signifie-t-il que tous les flux de travail que vous avez sur les appareils à feuilles simples, vous devez maintenant tout refaire pour les appareils à pages Web ?
Pour notre propre logiciel développé en interne, oui, nous le faisons. Avec Ultimate Bindery, nous installons simplement un nouveau périphérique, nous demandons simplement à l’un des vendeurs d’ajouter un nouveau pilote pour nous, et nous le retirons simplement de notre flux de travail et insérons le nouveau périphérique, et c’est fait.
Morten : L’une des choses dont nous avons parlé lors de ma visite, c’est également que vous étiez en mesure d’évoluer, disons, si vous avez des saisons de pointe, vous pouvez essentiellement avoir plus de capacité et réduire lorsque vous avez des périodes creuses comme celle-là. Comment ça marche aujourd’hui ?
Chris : Aujourd’hui, c’est encore mieux ! J’ai entendu dans les communiqués de presse d’Ultimate qu’ils disposaient également d’une solution évolutive encore plus évolutive. C’est « dockerisé », pour une imprimerie normale, ce n’est pas encore vraiment un terme qu’ils utilisent, mais notre entreprise adore l’innovation. Nous essayons donc actuellement d’obtenir la version dockerisée afin de pouvoir simplement faire tourner plus de serveurs d’imposition, plus de serveurs de finition et augmenter immédiatement la production en fonction de nos besoins.
Morten : Je pense que la dernière fois tu m’as dit que c’était un processus plutôt manuel, donc c’est automatisé maintenant ?
Je suppose que cela vous donne beaucoup d’opportunités et que vous n’avez pas besoin d’appeler quelqu’un pour obtenir plus de capacité de serveur, et en gros, vous abandonnez simplement le travail ?
Chris : Oui, c’est exact. Le fait d’être dans un fuseau horaire différent, sinon ils ont un support parfait, mais même une demi-heure sans avoir assez de capacité pendant une demi-heure, pour augmenter ou réduire, c’est beaucoup. Et le simple fait d’avoir beaucoup de serveurs fonctionnant pour rien, ce n’est pas non plus vraiment notre métier, nous voulons donc augmenter et réduire dynamiquement. Et actuellement, je pense que nous passons par cet aspect de la finition et de l’automatisation du flux de travail.
Morten : De toute évidence, Ultimate Bindery existe depuis un certain temps, mais il accueille de plus en plus de pilotes et de plus en plus intégré aux équipements de fixation. Quand vous dites que vous achetez également plus de matériel du côté des liaisons, est-ce que c’est maintenant une demande qu’il puisse intégrer
à la reliure.
Chris : Oui, pour nous, ça l’est. C’est beaucoup de travail pour Ultimate Tech, mais on adore ça ! Nous envoyons simplement un e-mail et un classeur ou un périphérique de finition est simplement ajouté s’ils sont conformes aux normes CIP4 et JDF, donc nous l’adorons.
Morten : Cela vous permet donc de produire davantage, de meilleure qualité, de manière plus respectueuse de l’environnement et en même temps d’évoluer en fonction de votre entreprise… ce doit être fantastique.